Les bonnes pratiques en sécurité alimentaire
Une alerte sanitaire correspond à deux types de situation : la mise en évidence d’une anomalie sur un produit, c’est-à-dire une non-conformité (germes, contaminants chimiques, anomalie visuelle, odeur anormale...) et l’apparition de malades.
Les objectifs d’une alerte :
Les 3 acteurs qui interviennent :
La Mission des urgences sanitaires (MUS) joue un rôle de chef d’orchestre national : la MUS coordonne les alertes sanitaires au niveau national en recevant des informations sur les non-conformités des produits et des signalements sur les cas humains.
La Direction générale de l’alimentation (DGAL) est chargée de la gestion des alertes, urgences et crises sanitaires, notamment dans le domaine alimentaire relevant de la compétence du Ministère en charge de l’Agriculture.
Les compétences sont effet réparties entre la DGAL et la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) :
Les alertes ont pour origine les contrôles effectués par les autorités sanitaires, les autocontrôles effectués par les professionnels, les examens réalisés par les vétérinaires (dans le domaine santé animale), les plaintes de consommateurs, etc. D’autres situations d’alerte sont provoquées par l’apparition de malades pour lesquels une origine alimentaire (toxi-infections alimentaires) ou le contact avec des animaux sont suspectés.
Autres bonnes pratiques :
Il est essentiel d'identifier les procédés de travail critiques et de fixer leurs limites dont le respect garantira la maîtrise de la sécurité alimentaire. En pratique, il est possible d'identifier pour chaque procédé de travail des mesures préventives préalablement et les paramètres à surveiller.
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